
Coïcidence ou pas !
Pourquoi Eric PEREZ à appelé ça création du nom « d'AGNI » une génératrice d'énergie permanente et saine pour l'ecosystème, une pièce représentant un rotor, avec la forme symbolique d’une « SVASTIKA ». Ce symbole existe depuis des millénaires, depuis l’histoire de l’homme, des quatre coins du Monde. Eric PEREZ fera le rapprochement avec le symbole seulement 25 ans après avoir fabriquer la mini-centrle.
Eric PEREZ découvrant l'emblème et les propos des peuples du Monde qui dure depuis de siécles, il appélera la génératrice " AGNI " répondant vibratoirement aux textes d'époque et encore aujourd'hui.
Dans les Textes Védique
Comme son nom l'indique, l'Agni védique est hérité d'une divinité indo-européenne du feu.
A l’époque védique, en Inde, un instrument servant à faire du feu – appelé arani – et confectionné à partir d’un morceau de bois d’acacia, était essentiel pour allumer le feu à l’occasion des rituels et sacrifices brahmaniques. Le dieu du feu, Agni, était censé surgir du bûcher. Certains chercheurs estiment que cet ancien instrument aurait été à l’origine du symbole de la swastika. Il est en tout cas remarquable de constater à quel point on découvre ce symbole dans les civilisations les plus éloignées. Si des liens sont décelables, on a fort justement pensé que les différentes graphies de la swastika sont nées indépendamment les unes des autres.
Tout a en fait commencé en Mésopotamie puis sa présence s’est affirmée au cours de l’Age du Bronze (Asie centrale, Caucase, Europe, pays nordiques). Puis, la swastika se retrouve en Chine comme en Amérique du Nord. Etrange tout de même qu’on ait ainsi retrouvé ce même symbole à travers la planète : mouvement rotatif, motif décoratif, symbole religieux, les riches fonctions potentielles de la swastika ont certainement contribué à un tel succès mondial !
Extrait :
Agni (sanskrit en devanagari : अग्नि) est l'une des principales puissances agissantes numineuses du Védisme, seigneur du feu sacrificiel et du foyer.
Dans l'hindouisme, Agni est un des dieux principaux, que l'iconographie représente chevauchant un bélier. Agni est aussi vénéré dans le bouddhisme ésotérique.
Agni est à l'origine du premier mot du premier hymne du Rigveda. Il est le directeur suprême des devoirs et des cérémonies religieuses, et paraît comme un messager entre les mortels et les dieux. Les rituels védiques impliquent tous Agni, par exemple, l'Agnicayana, c'est-à-dire l'empilement de l'autel du feu, l'Agnihotra, sacrifiant à Agni.
Agni est un deva, en second lieu seulement après Indra dans la puissance et l'importance qu'on lui attribue dans la mythologie védique, avec 218 sur 1 028 hymnes du Rig-Veda qui lui sont dédiés. Il est jumeau d'Indra, et donc un fils de Dyaus Pitar et Prithvi. Cependant, il est également dit avoir deux mères (les deux parties de la fosse utilisé pour allumer le feu) et dix servantes (les doigts de l'homme qui allume le feu) ou encore être deux fois né. Il est l'un des gardiens de la direction, représentant le sud-est.
Feu du foyer domestique, Agni est dit « maître de maison », feu du foyer du village, il est dit « chef du village », feu du foyer tribal « roi ».
Le Rig-Veda dit souvent qu'Agni naît de l'eau ou habite dans les eaux, selon la formule Agni, petit-fils des eaux. Il a peut-être été à l'origine le même qu'Apam Napat, qui est aussi parfois décrit comme un feu naissant de l'eau. Ce formulaire évoque la "duplicité" fondamentale du feu, passant constamment du monde des ténèbres à celui de la lumière (la fuite dans les eaux...).
Les autres noms employés dans le Rig Veda, épithètes ou aspects d'Agni sont Matarishvan, Jatavedas ou Bharata.
Ethymologie
Agni est un mot sanskrit qui signifie « feu » (nom), apparenté au latin ignis, au russe огонь (ogon), au lituanien ugnis, tous avec le sens de "feu", la reconstruction proto-indo-européenne de la racine étant h₁égni-. Agni se présente sous trois formes le feu, la foudre et le soleil.
Egalement, en Inde, pendant le dernier mois de la grande fête des sacrifices, le feu sacré devait être allumé trois cent soixante fois par jour avec neuf espèces différentes de bois, prescrites par le rite, dont l’Acacia frotté sur du bois de Ficus, ces allumages rituels sont aussi pratiqués par les Todas de l’Inde méridionale. L’appareil védique pour l’allumage rituel du feu porte le nom d’arâni et serait à l’origine du symbole de la svastika si l’on consulte le dictionnaire de la civilisation indienne.
Arâni : Inde ; instrument de l’époque védique, servant à faire du feu. il était fait d’un morceau de bois d’acacia (Shami) percé d’un trou dans le quel on faisait tourner rapidement avec la paume des mains une branchette de pois de pipa (ashvattha, Ficus religiosa). On pouvait également faire tourner la branche en enroulant tout autour une corde que tiraient alternativement deux personnes. Cet instrument était (et est encore parfois) indispensable pour allumer le feu des sacrifices brahmaniques, le dieu Agni étant censé surgir. Selon certains chercheurs, cet instrument, d’origine extrêmement ancienne, aurait été à l’origine du symbole de la Svastika.
Encore en Inde, la svastika possède un caractère sacré ; c’est un signe mystique. Malheureusement, le mot en lui-même ne nous révèle point avec précision, par c’est éléments constitutifs, le sens primitif qu’il a eu. c’est par extension qu’il a acquis celui de carrefour, d’entre-croisement de routes ou de lignes, de croix. Il est, en effet, composé de savait et du suffixe adjectival ka ; or, savait est lui même une formule de bénédiction, de salutation, d’approbation, composée à son tour l’adverbe su, « bien » , et de la troisième personne de l’indicatif présent du verbe « être » , asti. Nouante pouvons donc voir dans savait qu’une simple locution, quelque chose comme notre « c’est bien » , qui avec le temps et l’usage est devenue une formule sacrée, ayant quelque analogie avec l’amen des chrétiens. L’emploi de cette formule remonte d’ailleurs à une antiquité très grande, puisque nous la trouvons déjà employée dans sons sens hiératique dans le Rig-Véda(Verset 3 de l’hymne 14 duVIIe mandala).
En Pologne, la svastika serait la représentation mythique de la foudre, c’est-à-dire des traits du dieu de l’orage, et les quatre lignes brisées simuleraient ainsi les zigzags du feu du ciel. Le dieu de l’orage a été la grande divinité nationale des peuples belliqueux et conquérants d’origine aryenne.
Chez les Slaves, Péroun (chez les lithuaniens, Perkounas) était le chef, le roi des dieux, et, par son nom comme par ses attributs et ses fonctions, il correspond au vieux dieu védique Parjanya, le taureau divin qui mugit dans l’orage et verse, sous forme de pluie, sa semence sur la terre pour la féconder. Les Aryas de l’époque védique avaient transporté son culte sur un autre dieu de l’orage, sur Indra.
Les Grecs et les iraliotes avaient Zeus et Jovis, à la fois dieu du ciel et de la foudre, ennemi victorieux des géants et des génies malfaisants cachés dans les nuées sombres qu’il déchirait à grand coups de son tonnerre.
Pour les Germain et les Scandinaves, Donar ou Thor, quoique subordonné à Wo-dan ou Odhin, n’en était pas moins les plus puissant des dieux après celui-ci. Que la représentation de l’arme du dieu de la foudre, que la croix à crochet, la svastika, soit devenue ainsi le signe préféré des Aryo-Européens, à la fois leur « porte-bonheur » et leur emblème en quelque sorte national.
La Svastika est un apport symbolique extraordinaire. Ce symbole est la Vie, sous l'aspect du tourbillon qui se développe autour d'un axe central immobile.
Utilisé en Europe à l'époque romane, en Iran, en Inde, en Chine, IMPORTANT : le symbole de la Svastika qui existe depuis des siécles fut volé et détourné de son sens métaphysique par une secte de dirigeants politique allemande, responsable de génocide, durant la dernière guerre. Dans la culture de Samara, en Irak en -6000 avJC, la svastika figure déja le centre du monde et de la vie.
Oui, vous avez bien lu. Ce signe en rouge existe depuis l'origine des écritures et est utilisé encore aujourd'hui en Inde, 8000 ans plus tard. Aucun autre signe humain n'a eu cette longévité.